Confort thermique : maintenir un équilibre entre le corps et son environnement
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Le confort thermique désigne une sensation de bien-être ressenti chez un individu. Il est causé par divers facteurs présents dans son environnement et se produit lorsque les mécanismes de défense de l’organisme ne sont pas sollicités.
Le métabolisme humain et son environnement
Le métabolisme humain est particulièrement sensible aux variations de température. Lorsque son environnement est froid, les vaisseaux se contractent et l’organisme est obligé de frissonner afin de produire de la chaleur. Dans le cas inverse, les vaisseaux se dilatent en même temps que la circulation sanguine s’accélère tandis que le corps sue. Il existe six types d’échanges entre le corps et son environnement. Il s’agit de la convection de surface du corps, de la convection respiratoire, du rayonnement, du rejet d’humidité respiratoire, de la conduction, mais également de la sudation et la perspiration.
Mesurer le confort thermique
La mesure du confort thermique détermine le bien-être que génère l’environnement immédiat du corps humain. Elle consiste à évaluer la température de confort qui est autre que la moyenne entre la température de l’air et celle de la surface des parois. La température de l’air est mesurée à l’aide d’un thermomètre préservé des rayons solaires, mais aussi du rayonnement des parois environnantes. La température des parois est quant à elle mesurée avec une sonde de contact ou une sonde à rayonnement infrarouge.
Impact sur l’architecture
La notion de confort thermique diffère d’un point du globe à un autre, car si certaines régions présentent en effet de forts pics de chaleur, d’autres restent relativement froides. Il en résulte un impact sur l’architecture des différentes villes du monde. On peut classer le parc immobilier mondial en deux grandes catégories, à savoir le bâti ancien et le bâti moderne. La différence entre les deux se résume à la volonté de préserver et vivre en adéquation avec son environnement pour le premier tandis qu’il importe de s’isoler de son environnement pour le second.
La zone de confort
La zone de confort thermique est définie en fonction de différentes valeurs : la température de l’air est fixée à 21 °C ; l’humidité relative est à 50 % ; tandis que l’intensité lumineuse est à 2 000 lux. Pour autant, elle diffère d’un pays à un autre et, en Suisse, elle varie par exemple de 12 °C à 22 °C. Les chiffres sont les mêmes au Japon toutefois, la zone de confort thermique y dépend des modes d’émissions, des sources, de leur intensité, mais également des lieux de réception. Le confort thermique n’est donc pas une science absolue.
Le liège, la peau, du chêne liège, réagit comme la nôtre et permet à l’arbre de se protéger du gel mais aussi des incendies fréquents dans les régions de culture. C’est pour cette raison que depuis l’antiquité, ce noble matériau protège l’homme en lui apportant une certaine harmonie avec son milieu et qu’il résiste sans difficultés aux concurrents dérivés des produits pétroliers.
Source :
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